Ils sont beaux, d'autres là, qu'importe la parure ! Abandonnés pêle-mêle, parfois écartelés, Sous leurs ailes déployées, une blessure, Le voyage, la mer d'encre ensorcelée.
Chacun à sa place, rebelle, embastillé ? Tous ceux qui rêvent dans la fosse de l'oubli Etirent les carcasses berceuses de leurs os Pour retenir la main qui passe et s'enfuit.
Quand le coeur bien trop las, ne sait pas, ne sait plus, Percussionniste aux accords diaboliques, Maître des horloges, des paradis perdus, Il ouvre ses bras, me console, me quitte.