Amoureusement, je crève …
Croyant pendant longtemps,
Qu’aimer, c’est : « posséder»,
Et par cette idée,
Je me suis guidé,
Pour me lancer à la conquête des trésors,
Te garantissant le maximum de confort,
En effet, au nom de l’amour,
Je travaillais tout le temps,
Pour tout te donner, mais, hélas !
Par faute de temps, notre amour est dans l’impasse.
De ce fait, je me suis mis à tout promettre,
Espérant garantir ton mieux-être,
Quand au fait, je ne faisais que compromettre,
Pour longtemps, ton bien-être.
Ainsi, pour montrer mon admiration,
Je partageais mes plus intenses moments,
Entre dédicaces et contemplations,
Empruntant des grands poètes et écrivains,
Les mots doux et passionnants,
Pouvant décrire mes sentiments,
Mais en vain, tes reproches bien fondés et incessants,
Semblent être plus convaincants.
Quand vous m’accusez, sans me demander,
Si vous aviez raison ou pas,
Je faisais le premier pas,
Et surtout, si par imprudence,
Je commettais une offense,
J’implorais rapidement ton indulgence,
Toutefois, toi, en guise de pardon,
Tu me menaces d’abandon.
Par contre, je voulais être pour toi,
Celui qui apporte l’allégresse,
Même quand la tristesse,
Me rongeait le cœur profondément,
J’écoutais attentivement toutes tes histoires,
De déboires ou de gloires,
Bref, un gentil petit ami,
Qui ne pose pas trop de question,
Et prêt a tout faire sans condition,
Afin de mériter ta confiance,
Et malheureusement, avec toi,
Voilée par la méfiance,
Je suis déguisé en ennemi.
Et par amour, si je crève,
Ce n’est pas du tout,
Pour avoir sacrifiée mes rêves,
Afin de changer tes cauchemars,
En de magnifiques rêves,
Et faire de tes rêves,
Une des plus grandes histoires,
Mais, surtout, tenant compte de la réalité,
A cause de notre réalité
Car ce qui fait l’actualité,
C’est que tu en as déjà marre,
De notre si belle histoire. (Tio Mondong)