Et moi frère que te dirai-je ? Je sais le poids du bonheur Quand il roule dans le cortège De l’amour qui après sa course Devient une suite lugubre tel le malheur. Je sais quels cris stridents tu pousses Quand ton Grand-Cœur brésille Tel le tabac. Je sais aussi qu’une vétille Au nom de l’amour vaut de l’or Ainsi que chaque larme qui à ton visage perle. Oui je sais encore qu’hier pour lui et elle Tu as écrit les mots d’un poète mort !