Souffre au souffle du vent et soupire sans cesse Ma blonde Iseut soumise au sombre sortilège Du poids des sentiments ah que ton cœur s’allège Va je prendrai partant tes projets de princesse.
Jouiez-vous jouvencelle aux journées de juillet Lorsque je déposais sur vos roses corsages Ces baisers embrasés que vous trouviez si sages Et le vermeil éclat d’un odorant œillet ?
Mais pour moi mon amie même si vous n’aimez Ce n’était pas un jeu, juste un accroche-cœur J’y avais mis mon ciel, ma vie et puis mon cœur, Ce baiser oh ma mie ah ne me l’abîmez !
Restez roses rougies aux rigueurs des hivers D’un décembre de gel vous avez triomphé Votre nature en vie, violemment nymphée, Univoque unisson aux calculs si divers.
Je suis seul dans tout ça à savoir seulement, Sur nos chances volées et sur nos avenirs L’ombre de nos passés, le poids des souvenirs Et je vous les dirai, amour, tout doucement.