Souvenez–vous ce cœur qui a battu si vite Et mourut simplement consumé à vos feux L’étincelle jaillie en un coin de vos yeux Pourquoi donc fallut- il au jour qu’elle me quitte
Je sais que tu t’en vas ainsi à sa poursuite Et qu’il n’y aura point de répit pour nous deux Ah redis-moi encor qu’elles n’étaient pas jeux Ces flammes là de vies et de passions construites.
J’irai les mains tendues vers nos aubes nouvelles Mon désespoir est là permanant et fidèle Tout comme ce bateau qui balance et divague
Allez reprends ma main, nous en avons fini Je m’en vais te donner la mouvance des vagues Et je te pleurerai nos mers à l’infini.