Pèlerins emportés au bûcher de la foi, Revenants aux lieux qui vous virent aimer tant, J’ai appris tant de vous et cherché tant de fois, Ici en votre azur qui se perd dans le temps.
Revenants aux lieux qui vous virent aimer tant, Vous errez silencieux, peuplant de vos présences Ici, en votre azur qui se perd dans le temps, Nos rêves intemporels aux murs de l’absence,
Vous errez silencieux, peuplant de vos présences, L’impalpable infini, aux bornes dépassées, Nos rêves intemporels aux murs de l’absence, Tout en mettant des mots aux images passées.
L’impalpable infini, aux bornes dépassées, Votre espace aux couleurs de bruines et de brumes, Tout en mettant des mots aux images passées, Nous dit l’éternité aux bûchers qui s’allument.
Votre espace aux couleurs de bruines et de brumes, Du temps où se mena cet ultime combat, Nous dit l’éternité aux bûchers qui s’allument Cette histoire perdue de Roger et Corba.
Du temps où se mena cet ultime combat, J’ai tant appris de vous et cherché tant de fois, A faire l’histoire de Roger et Corba, Pèlerins emportés au bûcher de la foi.