Que se lève le vent sur vos vies en chamades Vous oserez poser vos roses sans raison Aux jardins éclatés en pleine floraison Et combien conservés aux rêves d’escapades.
Il y a si longtemps que l’on vous dit malades, Ah je suis sur du jour de votre guérison Vous apprivoiserez l’esprit hors sa prison Et vous nous saoulerez de grands airs et d’aubades.
Vous n’êtes pas si seuls, n’écoutez plus ces vieux Ceux là qui avaient mis tout ce sable en vos yeux Et vous tenaient murés aux peurs des lendemains
Marchez dans les chemins à l’envers de vos montres, Murmurez aux azurs vos futures rencontres Le monde est là enfants à portée de vos mains.