Je ne peux pas garder le silence. Va-t-en, mon chagrin, va-t-en! Moi et toi, c’est une bon alliance, Mais il me semble ton coeur est loin. Je ne veux pas être muet. Va-t-en, mon chagrin, va-t-en! Vraiment, je ne suis pas doué De ce sentiment tolerant. Je ne peux pas me taire. Va-t-en, mon chagrin, va-t-en! Je te déclare la guerre. Bien que, tu n’est pas très content… Mon aveu est sinistre, sublime torture. Les prunelles de tes yeux affoleés et hardies. Ma voix rauque je prononçe les paroles d’amour Et nous, ses victimes, nous sommes abruties.