Ta voix que j’ai écoutée Au hasard d’un soir d’été Ma foi ! Est restée depuis Un soupir une mélodie Dont je ne peux me passer Ne peux en avoir assez Qui me berce comme un enfant M’enlève comme un cerf-volant Vers cet univers de rêves Où l’homme ne porte pas de glaive Où l’amour comme la musique Est bel et bien platonique...
Que je voudrais un matin Te baiser enfin la main Mais l’appréhension surtout D’aliéner un coeur jaloux Et la pensée qu’en personne Tu peux ne pas être mignonne Et m’accueilleras du pouce Et non de ta voix si douce M’ont inspiré ces mots sages Qui sauront te rendre hommage