Je dors sur ton sein Chevauche ce corps dénudé Comme ma maison [mon ivoire] Fier, tendre et sans recul Prenant à mon compte L'illusion d'un refuge assuré.
Mais au nauffrage de ma maladresse A tes cheveux je me brûle.
Tes gestes en un coup de vent S'en retrouvent au loin Et coupable de ma paresse Je n'ose plus sur ton sein