Aussi loin que m’emportent mes maux Guérie par des promesses de Pardon Apaisée de t’avoir tout écrit Jusqu’à mon dernier mot, J’emporterai ton nom Pour qu’il réponde à ma mémoire Et suspende mon souffle A ton dernier cri. Je brandirai mon âme A la potence du destin Pour m’en faire oriflamme Et t’en faire un manteau. Je porterai ton nom Comme un collier d’épines Qui embrasse mon cou Et qui trinque à mon sang. Et je partirai… Absoute et pardonnée D’avoir aimé si fort Les bras en croix et à genoux. Et je partirai Guérie par des promesses de Pardon Apaisée de t’avoir tout écrit Jusqu’à mon dernier mot.