Attachés à nos jours comme aux diamants l’orfèvre, Nous demeurons sans voix et le désir aux lèvres ; Songeant à les tailler comme nos yeux l’espèrent, Nous ne savons jamais ce que l’on doit en faire.
Si l’on ne craignait pas de réduire en morceaux, Ces joyaux qu’il faudrait magnifier dans l’étau, Nous sertirions nos vies de moments qui scintillent, En martelant chaque heure en rivières qui brillent …