Parfois comme une mouche hébétée tourne en rond, Guerroyant une ampoule, attaquant un plafond, Plus souvent qu’à mon tour au vide je m’étale, Admirant le reflet d’une lointaine étoile…
Semblable à cet insecte, imbécile, agacé, Je fixe une lueur sans pouvoir l’embrasser, Et me brûlant les yeux puisque je n’ai pas d’ailes, Je m’aveugle au flambeau pour un astre du ciel !