Lors de leur rencontre, autour d’une table ronde. Les couleurs décidaient d’orner notre monde. Qui avait été affublé en noir et blanc Et le rendre adorable et attrayant. Elles convainquaient de donner à son visage. Plus d’allure, de brillance et d’éclairage. Le vert avait le feu vert, il était superbe. Il avait teint sa couleur sur toute l’herbe Le bleu avec son bleu de travail était prêt. D’habiller sa sérénité aux cieux sacrés. Quant au jaune, il optait d’adorer le soleil. Mettait son âme sur le cytise et l’abeille. Quant au rouge, il avait donné sa tâche au cœur. Au sang, au rubis et au tapis rouge d’honneur. Toutes les couleurs montraient leur faste agréable. Leur ampleur et leur charme considérable.