Que Dieu bénisse ton âme et t’offre le paradis. Je ne peux pas croire la rumeur de ce jeudi Je ne veux pas croire la nouvelle de ce matin Saïd, le grand absent, pourquoi pars-tu ? Reviens !
Tu resteras malgré le choc et le destin Toujours présent avec mon deuil approfondi Saïd, le grand présent, dans ma joie et mon chagrin. Tu étais un bon remède à ma maladie
Tu es proche, tu ne seras jamais l’astre lointain. Tu es la note éternelle dans mes mélodies Tu faisais partie de moi et un grand soutien Tu restes là, en moi malgré le destin maudis.
Tu faisais une grande partie de moi, chère âme sœur Tu étais le cœur quand j’avais besoin d’un cœur Tu es comme d’habitude, toujours présent. Tu es dans mon âme et l’impulsion de mon cœur
Prions pour que Dieu bénisse ton âme et t’accueille En son paradis pour dernière demeure, amen ! Ton bon cœur était un trésor sans pareil Avec ton beau sourire raffiné à merveille
Tu es là, c’est ma conviction et ma croyance. Ta merveilleuse présence a conquis la distance A vaincu le malheur et l’horreur de l’absence Et a défié le départ et ses conséquences.
Ô Je suis désolé, tellement éploré Vraiment affligé pour ne pas te dire adieu Mon cœur brisé est-il satisfait du regret Je suis désolé pour toi, ta famille et Dieu
Je suis battu incapable et désespéré De ne jamais avoir eu le dernier regard Mon cœur vaincu est-il convaincu du regret ? Pour ne pas pouvoir te dire, Saïd, au revoir.
Le bon adieu qui te convient et qui convient À un héros, à un homme honnête et fidèle Mon cher ami, ma grande perte, ne part pas, revient ! Toujours présent en moi, jamais éteint, Gazelle.