Le puissant cauchemar noir de mes nuits ravagées Avale tout espoir, laissant l’aube emprisonnée Son fantôme me suit à tort, comme s’il s’est vengé Il m’a terrifié fort depuis quelques années.
Il me poursuit jusqu’à ce que je sois piégé. Son tourment se répète au moment ordonné Il sème la panique parmi mes pouls réfugiés Et se nourrit de mon pauvre sommeil cloisonné
Il gâche mes rêves ruinés et cache la joie du ciel. Il vole ma chair fanée et vole avec mes ailes Il vire tout du blanc en noir, sauf nuit et linceul, Il aspire tous mes soupirs en me laissant seul.