Au levant les veines célestes de noir airain Emplissent l'univers des nuées habituelles, Et avivent du sommeil les vices souterrains Acuminant l'ignivome mâle en plus cruel.
Alors que l'alente forme aux ailes battantes Torpide, convie en chair les incessants trépassés; Mais l'avidité s'instille aux sereines dulcifiantes De ceux qui folignent en ancêtres outrepassés.
Ainsi leurs vues tissent les abriments endormis, Glapissant insidieusement aux recoins silencieux Quand les blanches écument de purifier l'impie, Et esquissent l'incipit en leurs béançant les cieux.
Par assourdissantes persiennes violées, crachent leurs verre Ames de Dieu ressuscitent en ce monde Douloureuse observance, en fosse macabre se creuse la terre, Et s'apprête de miasme à en être féconde.
Rehaussée vers les sourds inhumains la mélopée animale, S'amoncelant au râle moribond le vineux miroitement Que le craquement rengorgé aligne en plante murale Et l'archet en fer orchestre les notes à l'essoufflement.
Révulsant de démence à horripiler les damnés Quand au temple l'étoile se ceind de lune rudoyée Et de leur areligieuse sainteté les ont condamné A timper le glas d'autrui par courroux bornoyé.
Avinés de peur à se déluger contre leurs acceptions Prédécesseurs abdiqués, se faisant imageurs d'haingre batai Quand en marbre l'infante s'enracine à l'assomption Pour être aux ténébrions sculpture d'un flébile poitrail.
Et s'affaire Rubens d'huiles aux pointes plus obscures A jouer en spectateur au bûst les immaculées vestales Qu'Argos à leurs servage est nouvellement en parjure Quand abjurant de force hautaine le vœu virginal.
Et du néant éventré surgie à en extraire l'incomplet Esseuler le gîtage à vider l'amalgame de l'autre, Insépluturés où l'écœurant et la splendeur font reflets Embatisés par la bourbe rubrichée d'infâmes apôtres.
S'achemine la tuerie oubliée aux serpes aurorales Que les bénis s'annoncent aux perpétuels chants Que les bannis se taisent à l'aiguail matinal, Et s'abouchent interdits les adverses au pourpre champ.
Faisant escorte funèbre que la déraison arraisonne Et que l'agraphie annihile les écrits de ces afflictions Dont les penseurs sont l'écho qui en raisonne Pour s'anordir prestement à ne subir l'attrition.
Mais accourent à se mesgarder les funestes ritournelles Liant au joug un Phébus honni de les chevaucher Et d'être au pinacle terrestre lueur vivace et éternelle Allaitant paillant et putain aux valus débauchés.