Emergente des jadis la numidienne tête Quand les doubles Maia lui firent fête, Par l'adorateur du trait louange le nommèrent.
Celui qui affleura du graphite le stylet igné, Ardant l'écorce de ses véhémences innées, Et se gaudir lestement des aliborons hères.
Il abjura ses éthers pour l'héritage bourbeux, Et vient rejoindre les semblables tourbeux. Se dressa au parloir des flagorneries ironiques, Faisant surir ses déclamation aux pathétiques.
"Anoblissante révérence à vous, savant du cœur Moi le fou que des railleries pourchassent Rosé de honte ainsi qu'un digne serviteur, Je m'incline à pamoison devant vos grâces.
Mère nourricière qui vous sustente de vacuité, Me désapprend d'être ladre qui l'infecte de ses fiels. Aliénant ses apprentis-sages que vous exultez, Gaiement acquiescez que ciguë est douce et miel
Ayant sur nos réalités plebiennes éternel seigneurie Faisant à vos grées adouber les méandres des saisons, Ainsi à l'autel des allégeances je vous rends idolâtrie En me flagellant de n'avoir pour quiète que la raison.
Je dénigre en jurement la carnation du beau Pour quémander assidûment l'indomptable laideur, Et dans ma témulence m'essorer tel un maraud À courbasser l'échine et m'appareiller des plaideurs.
Seoir mes sourires entre le serein et la satire D'être un aveugle ergotant dans les obscures Qui voit les cendres hautaines timidement bleuir Me faisant nouvellement acculer au parjure.
Ah ! Mais que diable mes avérées chimères M'évertuant à saillir le souffle vitale de l'Etant Quand vos sages coiffes s'effleurent au luminaire Et que vous mythifiés les vagues d'un étang.
Voila mon servage m'oblige à l'usance de mutité Et démarcher le sentier de mon ascétère Vous laissant du savoir itéré la viduité A vous consumer dans l'ignorance bustuaire. "
À ces rebus casuistiques, se morcela la populace Saluant le morosophe de moquerie, et de grimace Mais ne saurez serpenter leur pas lointement.
Alors que s'en va le musard fallacieux Sillonnant les limons des êtres silencieux Pour se déchoir les ères immortellement.