Elles sont toutes semblables ces femmes Dans leur quête d’un confort bien gratuit Elles nous aiment d’un amour qui affame Et c’est notre argent seul qui les séduit
Les femmes sont semblables aux vampires Et elles se repaissent de sang tout innocent La belle vie reste le moindre de leur désir Et elles le montrent d’un air tout indécent
Quand elles disent qu’elles vous aiment C’est vers vos poches qu’elles louvoient C’est là que commencent vos problèmes Et c’est en imbéciles qu’elles vous voient
S’il vous arrive de succomber à leur amour Elles feront de vous de vulgaires esclaves Aussi charognards que de vilains vautours Vos vies finissent dans de sordides caves
Les femmes sont bien pires que les bandits Qui vous réclament la bourse ou bien la vie Les deux choses seront leurs uniques édits Et cela assassine en vous la moindre envie
Elles font commerce de leurs beaux corps Et n’accordent point de place au bonheur Au plus offrant, elles donnent leurs trésors Et dans le dinar elles cherchent la douceur
L’amour est un sentiment qui n’a de prix Si les femmes pouvaient bien comprendre Riches ou pauvres nous avons bien appris Que tout être est le produit de rêves tendres
Chourar Said
NB/ Ce poème m'a été inspiré par la situation de la femme algé