La boite à souvenirs s’ouvre c’est par Des larmes qu’elle débute L’âme détruite, le cœur et les gestes s’agitent La bouche s’invite à parler des choses du passé La laideur des souvenirs efface Le bonheur des sourires Livre des malheureuses solitudes qui s’imposent Les fleurs très fanées on perdue ce parfum de l’amour Pour faire oublier les amères choses vécues Brûler par les larmes qui décomposent nos yeux Perdre la référence émoussée par tant d’histoires Amour piégé par des malheurs Pour une légende historique Blesser de la confiance par cet instrument De méfiance Par la puissance des mots conjugués aux conditionnels Fermer les yeux sur ce lit d’indifférence Et d’incompétence Forçant les mots à l’impuissance Ouvrir sa boite à souvenirs se resservir de force Et donner à sa vie une très large importance