Moi qui croyait que tout été acquît Pourtant notre histoire été si belle Toi qui te sens au chaud blottie au creux D'une autre vie qui s'embellit L’amour barricadé qui met au supplice boule D'amour enfermée étouffée En ce mois de mai ensoleiller Je sens mon cœur a tellement froid Je te regarde sur cet écran froid Je compte les jours qui me séparent de toi. Je contemple ces photos qui m’ont tellement chères Seules à qui j’ai droit de toucher La loi du silence et de la distance douleur intense Dans la moelle un séisme qui me ravage Mon palpitant cœur qui rage avec courage posée Mes douleurs trop sages Je t'ai couché mes sentiments sur papier Laissant toujours des traces de ton passage Il faut que j’aille mesurer ton absence, Dans cette espace où vivait déjà ton fantôme Aux mots tronqués par une absence inattendue Dans ce silence éternel je suis épuisé La raison reprend ses droits il me reste que ton amour Que j’ai tatoué sur la feuille de ton pouvoir