Quand j’écris ces poèmes, ce n’est pas Forcément de moi-même. J’écris pour dénoncer ou pour annoncer Ce qui est impossible de divulguer. J’écris pour prendre du recul ou j’hurle pour Différents sujets, la vie, l’amour et la famille. J’écris des bons moments où je crie ma colère Du fond de moi-même. J’envois cette haine contre cet univers pervers. Ce ne sont pas des écrits, Mais chaque jour naît une autre nouvelle vie. Alors les pensées s’évaluent et les idées Sont perdues et évaporées. Jusqu'à ce que je les lise puis les réalise. Le peu de mots qui me parait inexpliqué Et malgré ça, je continue dans le contenu. J’écris des phrases tordues, qui tentent de Traduire ce que je n’ai pas le droit d’avouer. Ce sont des rêves interdits qui trouvent Un refuge dans ces récits. On peut toujours les cacher par un style Ou une procédure d’une autre manière. Alors, il ne faut pas oublier que les majeures Pensées restent impénétrables Et inavouables à l’éternel.