Quand tu me plaisais, Je mettais l’ardeur et la paix sous ton toit. Quand je riais sans joie, Et je souffrais sans gémir. Etre un climat constant autour de toi. Quand mon calme, obstinée et fièvre déraison. Te confondait avec le puissant univers, si bien que mon esprit te voyait sombre ou clair. Selon ces bleus à l’âme ou les froides saisons, je présentais déjà qu’il me faut guérir. Du choix froid et dur de ton être son feu. J’attendrais cet instant ou on doit espérer. L’enchantement sacré d’avoir ce qu’on veut. Peut être ton esprit à mon âme lié. Tu n’avais pas soif, mal, tu n’avais pas faim. Mais sache bien que moi je travaillais pour oublier