Chut ! Chagrin tais- toi un moment, une seconde seulement, que je puisse reprendre mon souffle. Le cours de ma simple vie meurtrie, Que j’ai l’air de perdre peut être. Qu’il était difficile de lui dire adieu, De laisser sa main quitter la mienne. Je l’aime tellement que cela ne me blesse pas, couler mes larmes au bord de mes yeux. Mon cœur implose et supplie de l’entendre, entendre encore celui qu’il aime. Ma gorge crie des mots d’amour, Qu’elles ne connaissait pas hier encore. Chut ma douleur, ma peine et mon âme, Bercez vous ce soir. Enlacez-vous sans larmes. De ma bouche, débordent ces mots jamais prononcés.