Décharne l’âme du sévice Qui innove dans sa douleur De s’improviser novice Au détriment des terreurs Zéphyr dans l’amarre et lisse Sa providentielle humeur
Écorne l’œil d’une larme Sans la pleurnicheuse flottée La sagesse vacille et charme L’utopie de la beauté Pourrie, toutefois désarme L’insaisissable réalité
Transperce ce cœur exsangue D’un grondement trop réprimé Par les silences amers, et tangue Le hasard désabusé Le soulagement harangue Nos distinguables années
Érafle la chair d’abysses De maelströms en fureurs Aux blasons sans artifices Synonymes de frayeurs Où calcins et immondices Évoquent l’état des bonheurs
S’escriment l’Homme et le Diable Pour abattre le sacré Leurs destinées estimables Et en devenir aliénés S’aimer c’est être condamnable De ne pas avoir été.