Mourir Pour que le repos sonne Et délasse la personne De sa survie misérable Organisme qui s’actionne Se sentant tolérable
Infléchir Les époques qui résonnent Pillent l’ambre qui foisonne Du bâtisseur affable Devenant la gorgone Rendue inapaisable
Souffrir Sur les grèves, hameçonnent Des pêcheurs qui s’empoisonnent D’idéaux et de fables Énamourés, et soupçonnent De gémir en coupables
Ouvrir Ce plastron qui convulsionne Éreinté, et s’emprisonne Au creux des marasmes de sables Silencieux et résonnent Des tombeaux accables
Ouïr La dantesque polissonne Escarpée, se rançonne Ma madone adorable Sous les coups de garçonnes Assénés par l’aimable
Dormir Sous la voûte où frissonne La colonne mollassonne Des crimes immuables Aux déchus qui chantonnent Et aux piétés instables
Étreindre L’Enfer quand il façonne Le sillage où dissonent Les musiques inclassables Où leur Lucifer s’adonne Aux rituels qui accablent Et pourtant normaux.