La clameur du noir enveloppe les pierres Ce soir la peur s’immisce sans retenue. Le royaume s’apprête à nourrir une guerre L’enfer se pavane d’être à nouveau venue.
Femmes et mères aux regards bienveillant Masquent leur tremblement rassurent les enfants. L’innommable renaît déjà les mutilant, Leurs cœurs, en sanglot, battent en s’étouffant.
En ce jour de combat au centre de l’arène Du glaive jaillira la vie en flot de sang, Le peuple revêtira son habit de gangrène Le calme se tapira sous le règne rugissant.
Sur le sol meurtri par leurs rois de misère Les survivants redresseront la tête, élèveront la voix pour une même prière, Epargnez nous Ô dieu découronnez ces bêtes.