La nuit se dérobe Pendant que l’aube éclot Comme une idée surgie du silence Pauvre ombre errante! Tu es nombreuse à toi toute seule Ame et mains douces
Aucune demeure nous le savons ne demeure Mais certains creux dans les arbres nous attirent J’ai vécu derrière toi longtemps Et nous avons vaincu la vive solitude et Les chevaux saisonniers de l’orage