Je sentais venir ce temps. Temps qui par la nuit verra le noir. J`attendais ce moment si longtemps Que le soleil s`est plonge dans le troisieme plan.
Le corps fatigue de trimer, Ressemble a ces paysages brules. Sa beaute jadis lustree n`est plue. Comme si elle tirait a la fin de son vecu.
Viens que je pose ma main Entre le creu des seins; Sur ton corps qui incessablement soupir Comme annoncant la chute de l`empire.
Te griffant jusqu`aux fibres Comme un tigre, tu vivres; Respire; des pores la sueur; Ressentant a la fois douleurs et douceurs.
Sur ton dos comme la chute du Niagara Je glisse, je descends vers le bas; Laissant partout des traces Dans le zoo je marche arme comme Pegase.
Il n`y a pas d`animal, rien de sauvage. Juste une vegetation, une pluie accompagnee d`orage. Au milieu un vaste creu... Action pas verbe, me taire serait mieux.
De toutes les peines, l`amour est l`advil Qui heal. Donc avant qu`on ne se rehabille, Livrons nous a la nuit. La journee ne fut qu`ennuis.