Dans l’opacité de la nuit veille le coeur en suspens du “Barberesco” Il invoque, dans les heures éteintès du sommeil le privilège du destin impondérable. Sur le tufe friable le rite se repropose sans cesse.
Les quartieres rivaux se haïssent, rêvant d’une victoire de haute lutte avec une violente exaltation. La fierté du cheval dans son dernier écart, en vain convoite - t - elle la splendeur d’ une gloire enivrante.
Le jockey futè, mercenaire du courage, cingle implacablement la crinière ténébreuse et remporte la course téméraire par des secrétes ruses.