C’est un matin lumineux, joyeux, La pendule guillerette trottine, L’odeur des croissants des jours heureux, Les facéties des enfants dehors fulminent.
Un jeune père visage fermé, Se tient la tête devenu bruyante. Réfléchit ; accablé de doute facturer, fracturer ? Livide assis sur le bord de sa fenêtre béante…
Les tic tac de la pendule sont devenus inquiétants. Il se met à sourire de tristesse en chantant, Invitant compassion de donner courage à l’ouvrage…
L’odeur des croissants des jours maudits, Ceux que le système a transformé en oubli. Silencieux. Un matin sombre où gît un corps au chômage…
