Pourquoi ai-je le cœur à la renverse ? Quels sont tous ces bruits obscurs en averse ? Et là...assise dans ce tout petit coin tamisé, A murmurer des mots comme on érige un muret...
S’enfermant, se flageolant de condamnation Entendre son corps crié jusqu’à la séparation. Voir les vautours entamés leur ronde, Vous frôlant en vous glaçant d’immonde…
Vous habillant d’un linceul seul dérivant, Où les paysages se teintent de gris se nuançant! Se faire aspirer en spirale essayant de s’accrocher, Voir son âme se vider d’un rouge gravant « je m’ai tué »...