Sur le chemin du hasard, En pleine chasse au trésor, L’âme de Michel ange en art, Au cœur du château, les yeux à bord
Les pas aimantés vers le jardin intérieur, La poésie flânait s’infiltrant dans les pierres, Murmurant la lumière de ce lieu seigneur, Me guidant au souvenir jusqu’à une pierre.
Elle me titillait le cœur et l’esprit A la vu de son nom, j’ai succombé « pierre de lune », au pouvoir de la nuit… J’ai orné mon cou de ce mystère, rêver !?
Ma peau s’imprégnait d’elle, tel un bal Sous le paysage qui défilait charmeur, Pour notre dernière soirée estival, Les heures soleil s’éteignaient en douceur.
Un ciel étoilé s’ouvrit de sa plus belle parure, La fraîcheur venait nous caresser, nous étendre Sur un lit couleur espoir nous chatouillant l’oreille. De l’index, mon homme, en maestro, se mit à conter sans pare
Il était sur la grande Ours, lorsque je lui ai demandé « c’est pas ce soir la nuit des étoiles filantes !? ». Petite déception de sa réponse négative, « c’est en Août ». Soudain sous nos yeux émerveillés, une fila de la voie lacté
J’étais contente et toute émoustillée et fît un vœux Et là, ce ne fût que le début, çà a été un vrai feu d’artifi Elles fusaient de toute part, une carte magique de vœux, On aurait dit des petites fées se disputant à coup de baguet