J’atterris comme invité Je m’assois dans ce siège Et plonge dans cette huile Qui devient essentielle D’où émane des senteurs florales Au goût de sucre d’orge Entre dans ce panorama J’effleure son visage Mes doigts glissent le long de son aura Ils se font pénétrants Atteignent le poisson austral Où le vent solaire rayonnant S’évapore en goutte frontale Où l’on vois mes lèvres y déposant Un baiser caramélisé Sculptant ce délice Venant d’un temps de rêve…