Comme il est bon d’aimer sous la voûte d’un sein, Couvant mon vain désir vers le rêve d’une enfant, Mon délire dérouté, et, le réalisant, C’est un rire qui court d’un infini tourment. Comme l’ombre déchoit sous une vaste lumière, Un merveilleux présent, un mystère effrayant, Un Hiver qui passe sous les larmes des vers, Et me chante une comptine, Et rassure mon temps. Comme il est bon de croire, de rêver, de pleurer, Comme face à un miroir qui jamais ne paraît, Comme il est bon d’être vrai, Comme il est bon d’être vrai, Comme il est tort de choir nos peu de libertés.