Etreintes naissantes, amours mourant L’incompatible serais possible Astre du temps, bref, impassible Sans toi, rien ne serait violent
Attendre bien sans rien comprendre Si les névroses pouvaient parler Pour sur, elles seraient censuré Et puis comprendre sans attendre
Ce n‘est qu‘un jeu, quoique attrayant Avec brièveté, s’en moquer Croire les mots et, les penser Etreintes mourantes, amours naissant !
Epilogue poétisé: Jeu terminé, mais entêté… Point de brisure ni de cassure Juste la volonté d’entamé Ce que la règle dit immature :
Poétiser n’aurais de sens même si le poète le voulait Juste deux trois rimes sans importance voudraient toucher l’évanescence. Derrière les touches de son clavier, le clown et le violon était Et si cela est au passé, C’est que le verbe le voulait
Epilogue de l’épilogue poétisé : Bref, aussi joli qu’elle soit, même la prose est embêtante Car pour pouvoir tout exprimer, Il faudrait même la contourner.
Si même le médecin qui meurt, Ne tarit rien de ce pari Et que souvent sans connaisseur, c’est la que le temps nous sourit , Alors, étrangement, C’est la blessure qui nous guéri.