Je meurs soir après soir, et renaît au matin. Ennuyeuse est ma douleur, triste mon chagrin. J’idolâtre et on m’aime : quel joli refrain ! Un jour la nuit perdure et le conte prend fin.
Ô moi, ô la vie ! ... et l’identité… Cher Walt, à tout cela j’apporte ma rime, À tout cela j’apporte de la piété : Ma cité est rogue d’incroyance ultime…
Les minutes passent et ceux qu’elles condamnent Traversent, déversent et desservent la vie ; Et l’égocentrique nocher se vente et crâne D’être bien le seul que Dieu réserve à la lie.