Pleures-tu tes dernières peines Toi qui, au-delà de ton cœur Fait percevoir, doucement la Seine Montres-tu tes joies, ou tes malheurs ? Triste paysage, là où la pluie s’exprime Gagnes-tu des droits, en avançant ? Ou perds-tu tes seuls parents Qui t’ont mis au monde, un jour de crime Je pense à ce lieu, aussi beau soit-il Lieu de vie, fut-elle subtile Qui respire l’allégresse de son nez discret Et qui en un matin, a fait sortir ses bras épais Triste paysage, vois-tu cette femme Se déplacer doucement, tel un mélodrame