Un ciel de plus sur sa tête Reflétant son visage dans le lac aux milles écus Un sujet de plus que l'on traite Dans sone esprit à la voix étendue
Elle était animée par cette âme pensive Qui la faisait voyager, par cette fleur, intuitive La rendant plus belle au soleil couchant Palie de sa blancheur, dans le miroir réflechissant
Se jouer des autres fut son activité Marcher dans l'ombre, sa passivité Illuminant l'univers, d'un regard magnifique Tombé à l'aube, d'une voix statique
Dans son regard, un nuage blanc Qui à chaque heure courre après le temps D'une ondulation presque avueglée Il regarde les passants, les baudauds, les épées
S'observer comme deux montagnes le feraient Est un assassinat entre deux nations D'un dialogue, d'une parole, d'une expression Elle simule sa mort, scintillante comme le grès