Qu’il est beau, son visage, dans cette forêt ! Quelle est belle, cette couleur, de ce si beau reflet ! D’un œil presque fracturé Il regarde cette femme aux seins siliconés
Et d’un geste brusquement effacé Voyant dans ses yeux un chemin aux lèvres maquillées Il marche sans cesse vers une chose inconnue Ô quelle inconscience dans son esprit à demi-nu
D’entrapercevoir son âme dans un champ Perdu dans le néant d’une vision quasi perpétuellement Tandis qu’entre sa pensée Se glissait un amour
Qu’elle perdit hélas dans son conscient Son corps, dont le pourtour Aplati comme un sourire Est lancé du cratère, d’une couleur de cire
En ces matins, tardivement oubliés Elle regardait le sol d’un pas décidé Aimer fut son remord Penser, presque sa mort
Observer un dessein d’une tendresse infini D’une gestuelle parfaite, elle écrit Ces vers pour cet alcôve En ces temps anciens, d’un pétale mauve