Euphorie incomprise, un temps de grâce, Des sourires et des pleurs donnent la vie Bonheur intense, enclin d’un amour vivace, De rire à chaque heure j’ai eu envie.
Dans le brouillard j’ai compris la lumière, À chacun de mes pas, je frissonnais ; C’est étrange j’étais sans repère, Je ne les attendais pas, les joies étaient.
Les nouveaux nés, de cette mère aimante, Sont des souvenirs, dont il faut se réjouir Je prends donc l’été, comme il se présente, Sans même tressaillir, l’Homme sait ressentir.
Être ébloui une fois, puis jouir dix fois, Saisir durant un instant, pléthore d’émotions Dictent leurs lois, ces filles de joie, Soupirs tenaces, elles endorment nos lésions.
Tels les faisceaux de soies du pissenlit, Les joies s’envolent, au gré du vent De les saisir j’en ai envie, Je n’y parviens pas, sincèrement.