L’eau, sort de l’eau pour se rapprocher de la lune ; Et l’ombre fuit la nuit, Qui coule de force sur un sable trop humide. C’est le temps du chaos, c’est le temps du renouveau. Les vagues défilent et semblent jouer une mélodie, Dont les accords font valser les grains de sable dans leurs Elles glissent sur le corail, avant de se retirer dans le so L’étendue d’eau, ne connaît ni chemin, ni détour ; Elle est un univers où viennent s’échouer, Les remous sur une plage des remords. Les galets se rencontrent et se brisent, sous le poids d’un Mais la roche est tangible et la tempête n’est jamais incess Alors l’érosion travaille ardûment les reliefs, En proie au déferlement de ces remparts d’eau. Les nuages se rassemblent et s’assombrissent, Afin d’insuffler à la mer, la force de s’élever dans les air L’océan, est le reflet du ciel. La peur, la fougue et le mal La vie fuit la tempête, en attendant la lumière. Entre ciel et mer, la tempête donne raison à la sérénité, at
