Morsure ensoleillée Draps siamois La mort foudroie Il n'y a plus de héros derrière tes pas Que vivent l'espion et le glaive Sur un banc de parc Apportez bouchons, à la remise les Chiens Quelques baisers trouvés dans l'engrenage Et les muscles endoloris découverts par la pluie Un printemps gelé par la chair La chair de l'automne gris Blond comme l'été je T'aime
Et si ce que je disais était vrai, que je te Disais que je t'aime Changerais-tu ton idée Trois lignes pour ceux que je pleure déjà Tandis que roule le pouce sur la mousse Dehors, il n'y a que les bêtes pour te voir flétrir Manger ta gorge comme un kiwi dans le cendrier Neige sur ta page.