Ni à Dieu, ni au diable, au ciel ou l’univers, Je dois ma position, l’arrogant se vanter, Affichant sa fortune au gueux désargenté Dormant, sous un carton, durant le rude l’hiver.
Il pérorait de même, avec ses courtisans Qui lui prêtaient l’oreille, en amis fort dociles. En laissaient à penser, au parfait imbécile, Qu’opulence rimait avec valorisant
Une nuit de Noël au sortir de l’office, Après avoir prié, pour les tous les miséreux, Il reprochât aux pauvres, assis en ces saints lieux, D’être des parasites. Au nom du père, du fils……… !
Ajoutant:’’ voyez-moi, tout seul je me suis fait’’ A quoi lui répondit, l’un de ces miséreux : ‘’Soyez donc remercié d’avoir déchargé Dieu D’une aussi rebutante imputabilité’’.