Nous avons des enfants, il nous faut les défendre, Ne pas bâtir leur monde sur un monde de cendres, Dans un vaste brasier notre avenir s’éteint, Et chaque arbre qui brûle un peu plus nous atteint, Tant de milliers d’espèces ont déjà disparues, Et tout autant d’espoirs sont à jamais perdues,
Les espoirs de guérir diverses maladies, S’envolent en fumée aux feux d’Amazonie, L’oxyde de carbone remplace l’oxygène, Chaque jour un peu plus, pour l’espèce humaine, Se restreint le futur, que l’on croyait pourtant, Là, à portée de main, et toujours florissant
Peut-être est-il trop tard déjà, pour arrêter, Le processus fatal que l’on a déclenché, Entre la pollution et les effets de serre, Puis les trous d’ozone dans notre atmosphère, La planète gémit sous tant d’acharnement, Alors je vous en prie, pitié pour nos enfants.