Rappelle-toi Sarah, cette plage de sable, Combien tu étais belle, avec ta peau dorée, Toute nue au soleil, tu étais désirable, Le monde s’arrêta un instant de tourner.
Tous mes regards d’alors, pour toi étaient sincères ; Tes yeux étaient si purs, j’ai failli m’y noyer, Tu étais bien trop jeune, l’on ne peut rien y faire, L’on ne peut rien y faire, j’étais bien trop âgé.
Tu restes dans mon cœur, fille de la lumière, Ton corps offert au vent, je ne peux l’oublier, Tu étais magnifique, nue, entre ciel et terre, Cette image de toi est gravée à jamais…
