Dans la glabre forêt, j'ai rencontré un palladin. Un triste personnage, visage défait d'assassin. Chevauchant un cheval crevé, grignoté du soir au matin. Il trotte, malade de subir son destin. Crachant sur la ligne son avarice cancerigène; Déchet n'est plus digne, face à la mort il rechigne, Plutôt trainer sa peine que de lui offrir ses veines.