La « coupable » ayant « trimé » sans arrêt, Se trouva fort dépourvue lors d’un préjudice vécu.
Elle alla, sans aucun vice, Vers des « Pros » crier justice, Demandant de l’y aider, Car bien trop fragilisée Par la vie, jungle cruelle S’acharnant toujours contre elle.
Elle dû « cracher » pour entrer Dans ce cercle, plutôt fermé Aux humbles et déshérités, « Des Pourris Associés » Se voir ensuite délaissée, Reprise en mains par l’Associée…
La femme, « la péronnelle » Conseilla l’aide juridictionnelle Non sans signaler au passage Qu’elle ne faisait pas dans le social de bas étage.
L’avocate fit tant bien que mal le dossier Pour justifier ses indemnités, Utilisa avec un mépris sincère « Les billes » qui servirent à l’adversaire.
Que retirer de cette affaire ?... Sinon que les femmes pour se défendre Ont encore bien du chemin à faire…
Tous ses bons droits avaient été niés. La Rmiste aux fins de mois mal aisés Se vit déboutée et en plus condamnée A payer une dernière échéance A sa compagnie d’assurances Qui lui signifia… son insignifiance : -« Comment osez-vous lui dit-elle Vous attaquer à nous ?... »
…N’est-elle pas belle la Justice Quand elle retourne le bâton Vers la plaignante novice Trop faible et donc d’avance… marron ?…