Je vous écris. La terre est couverte par la nuit, Comme par un voile de deuil. Sur le parchemin le noir déduit ligne par ligne, Dans la cheminée, le feu cligne de l’œil.
J’espère que vous êtes accepté là-bas. Dans notre monde des fous, pour les grands il n’y a pas de place. Les gens ont une telle matité sur leurs cœurs, leurs faces, Donc, je ne peux pas exprimer ni dégoût ni plainte.
Restez tranquille. Personne ne s’ennuie ici. Votre Rocco a trahi son art pour des films insignifiants. Dans notre monde, plein de déshonneur et de souci, Le don est toujours inutile et impuissant.
Restez tranquille. Personne ne vous cherche maintenant. Je vous écris sous le battement de pluie, Les doigts avec un frisson déduisent : votre Ludwig défiant Il veut embrasser à nouveau son roi détruit.