Vos
poèmes

Le rouge et le noir fui dans le soir
Bien caché dans l'isoloir du pouvoir
Pour échappé à ce monde barbare
Et revenir aux fastes de gloire

Dans l'arène le taureau meurt trop tôt
Sous les coups du glorieux torero
Adieux manades, étangs et cheveaux,
Les étoiles lui chantent un crédo

Notre patrie mère nourricière,
Appel ses enfants pour la défendre,
Drapeaux en berne et cartouchière,
Feront pleurer les yeux de leurs mères.